Soumis par colle brigitte le
Par le bout du cœur…
Gouy-lez Piéton
L’écriture, par les temps qui courent, ne semble plus obéir ni à une certaine rigueur, ni à l’expression d’une sensibilité fine, et pourtant…
Ce langage si essentiel à la communication entre les personnes doit-il se réduire à l’expression la plus simplifiée, à quelques chiffres derrière lesquels bon nombre de journalistes tendent leur papier ou simplement à quelques hiéroglyphes phonétiques ?
Ne peut-elle pas, encore et longtemps, laisser parler l’émotion, la culture du « beau », l’envol de l’esprit, le souffle de l’imagination, bref, tout ce qui en fait un Art à part entière ?
Je laisse aux amateurs de « choses bien dites », ces quelques lignes, souvenir d’une prose journalistique débordante de sensibilité datant de 1925 ou « comment dessiner une perle dans un écrin »,… un coin de chez nous.
Jean-Pierre Dehan
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